Nom de l’auteur/autrice :Ilias007

Chaque année, la Côte d’Ivoire produit plus de 280 000 tonnes de déchets plastiques, dont une infime partie est recyclée. Dans les villes comme Abidjan, Yopougon ou Bouaké, les conséquences sont visibles : pollution visuelle, engorgement des réseaux d’assainissement et prolifération de microplastiques dans les eaux et les sols. Le Programme des Nations Unies pour […]

Pendant des décennies, la Côte d’Ivoire, comme une grande partie de l’Afrique de l’Ouest, a suivi un modèle économie circulaire et linéaire basé sur une logique simple : extraire, produire, consommer, jeter. Si ce système a permis une croissance rapide, il est désormais synonyme de gaspillage, de pollution et d’inefficacité. Selon le Programme des Nations

Aujourd’hui, on ne parle plus d’emballage uniquement comme d’un simple contenant ou d’un support utilitaire. L’emballage est devenu un outil de valeur, un levier stratégique dans la chaîne de production, de distribution et de perception des marques. Il influence l’efficacité logistique, la décision d’achat, la sécurité sanitaire, et incarne désormais les valeurs écologiques de l’entreprise.Mais

La Côte d’Ivoire, comme de nombreux pays africains, est aujourd’hui confrontée à un défi majeur : réduire l’impact environnemental des déchets, notamment plastiques. Le secteur de l’emballage est particulièrement concerné, car il représente une part importante des déchets solides urbains. Dans ce contexte, l’emballage écologique se positionne comme une solution incontournable pour les entreprises soucieuses